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La première grosse tuile
Nous arrivons à la Corogne avec des vents réels supérieurs à 30 nœuds que le pilote automatique a du mal à supporter au largue malgré une voilure réduite au premier ris, lors d’un empannage incontrôlé, la grand-voile a éclaté sur 3 m, nous restons immobilisés trois jours à la Corogne dans l’attente de réparation du maître voilier.
Ensuite le vent n’a jamais dépassé 15 nœuds et nous avons utilisé environ 100 h de moteur en un mois.
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